De St Kitts nous sommes passés à Montserrat. Nous ne sommes pas arrêtés à Nevis, ayant
décidé de le faire au retour. Montserrat
est une île impressionnante, avec un relief très marqué. C’est là que se trouve la Soufrière,
volcan qui est entré en éruption en 1995 et qui ne s’est pas rendormi
depuis. L’île, une colonie britannique
avait une population de plus de 12000 habitants. La population est maintenant d’un peu plus de
4000 personnes. Cette population était majoritairement blanche et âgée et est maintenant composée majoritairement de natifs jeunes. Plus de la moitié de l’île est toujours ce
qu’on appelle zone d’exclusion, c'est-à-dire qu’on ne peut y aller sans
permission, et encore moins y habiter.
Plymouth la capitale, a été dévastée et on peut encore voir une grande
partie des maisons désormais inhabitées.
Depuis trois ans on annonce la construction d'une marina et d'un port permettant d'accueillir les bateaux de croisière, mais la première pelletée de terre se fait toujours attendre.
Depuis trois ans on annonce la construction d'une marina et d'un port permettant d'accueillir les bateaux de croisière, mais la première pelletée de terre se fait toujours attendre.
Le volcan est pratiquement toujours enveloppé de nuages |
De Montserrat, nous sommes traversés en Guadeloupe, à
Deshaies plus particulièrement. J’y ai
retrouvé la douceur de vivre française. Et la baguette, le fromage et le pâté.
Nous sommes allés visiter le jardin botanique, qui a été établi sur l’ancienne
propriété de Coluche. Après la mort de
celui-ci un de ses amis avait racheté les lieux et y a fondé le jardin, qui est
d’ailleurs magnifique.
Les carpes japonaises sont d'une gourmandise ahurissante |
Coluche avait installé une échelle de corde et montait admirer le coucher de soleil en prenant sont ti-punch |
Il est possible de louer le chalet |
J’adore les noms de lieux dans les îles françaises:la pointe du Souffleur, la Coche, le Chameau, tous des noms de lieux plus parlant les uns que les autres
Nous sommes allés à Malendure, et ensuite aux Saintes, d’abord à Terre de bas, un îlot peuplé de 600 personnes, absolument pas touristique, où nous sommes resté cinq jours.
Nous sommes allés à Malendure, et ensuite aux Saintes, d’abord à Terre de bas, un îlot peuplé de 600 personnes, absolument pas touristique, où nous sommes resté cinq jours.
Nous sommes ensuite passés à Terre de Haut, au Bourg des
Saintes, situé dans ce qui est parait il une des trois plus belles baies au monde. C’est effectivement ravissant, et chose
merveilleuse, aux Saintes, les moto marines sont interdites.
Les moto terrestres c’est autre chose, l’île pratique beaucoup la location de ces petites machines et les touristes dévalent les côtes a qui mieux mieux. Vaut mieux ne pas se tenir au milieu de la rue.
Le problème avec le voyage que nous faisons c'est que nous allons de paradis en paradis et qu'il faut les quitter. Nous devons impérativement nous trouver à la Grenade au début de la période des ouragans. Mais quelquefois les départs se font le cœur gros. Ce fut le cas aux Saintes.
Depuis notre départ des Vierges, nous avons utilisé 15 gallons de diesel. C'est dire que nous avons vraiment recommencé à faire de la voile.
La Dominique est beaucoup plus sauvage, peu puplée. Nous avons fait un tour de l'île dans un petit autobus, en compagnie de Carole, Denis, Tristan et Maxime de la Jeannoise, de Joanne et Régil de Joréane et de Louise et Denis de Prana. C'est une île anglophone où il n'y a que deux villes, Portsmouth où nous sommes, et la capitale, Roseau. Les autre agglomérations sont des villages. L'île a beaucoup développé l'aspect randonnée pédestre. On a créé un réseau de sentiers . De toute façon il n'y a pas beaucoup de plages, toutes celles qui se trouvent du côté Atlantique m'ont semblé impraticables et pourtant le temps était calme pendant notre randonnée.
Les moto terrestres c’est autre chose, l’île pratique beaucoup la location de ces petites machines et les touristes dévalent les côtes a qui mieux mieux. Vaut mieux ne pas se tenir au milieu de la rue.
Le problème avec le voyage que nous faisons c'est que nous allons de paradis en paradis et qu'il faut les quitter. Nous devons impérativement nous trouver à la Grenade au début de la période des ouragans. Mais quelquefois les départs se font le cœur gros. Ce fut le cas aux Saintes.
Depuis notre départ des Vierges, nous avons utilisé 15 gallons de diesel. C'est dire que nous avons vraiment recommencé à faire de la voile.
La Dominique est beaucoup plus sauvage, peu puplée. Nous avons fait un tour de l'île dans un petit autobus, en compagnie de Carole, Denis, Tristan et Maxime de la Jeannoise, de Joanne et Régil de Joréane et de Louise et Denis de Prana. C'est une île anglophone où il n'y a que deux villes, Portsmouth où nous sommes, et la capitale, Roseau. Les autre agglomérations sont des villages. L'île a beaucoup développé l'aspect randonnée pédestre. On a créé un réseau de sentiers . De toute façon il n'y a pas beaucoup de plages, toutes celles qui se trouvent du côté Atlantique m'ont semblé impraticables et pourtant le temps était calme pendant notre randonnée.
J'ai évidemment manqué toutes les photos où Claude se baignait sous la cascade Nous quitterons sans doute Portsmouth mercredi, destination la Martinique, où nous devrions rester quelque temps |
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